NOTES
Hugo sait que, dans la Grèce antique après une victoire, des boucliers votifs, spécialement faits, étaient suspendus dans les temples, et que, d'autre part, avant le corps à corps, les soldats, rangés en ligne, frappent avec leur glaive sur leur bouclier et poussent des cris pour effrayer l'adversaire. Il semble qu'il contamine ces deux usages. Du moins n'avons-nous pas retrouvé trace de cette ferveur patriotique à la sortie des représentations d'Eschyle.